Reprenons au moment de la rupture conventionnelle, le grand saut.
Cette décision relance la joie et l’élan vital.
Toutefois, peu après la signature de rupture du contrat de travail, c’est le vertige. Sur le canapé, tout à coup prise de conscience : «aucun plan concret pour gagner ma vie. D’accord pour entreprendre la création d’un lieu de biodiversité mais point de projet professionnel qui tienne la route ! » C’est l’instant de panique. La tête tourne, le cœur bât fort et vite : « Mais qu’est-ce que tu as fait ? » –
Respiration, respiration profonde et reprise de ses esprits :
– « si tu ne trouves pas comment gagner ta vie, tu reviens, tu reprends un emploi, rien n’est figé…. »
Ainsi peu à peu s’estompe la panique, et à nouveau, la vie suit son cours.
Fin 2020, reprise de l’activité professionnelle en présentiel. La date de rupture du contrat de travail est au 30 septembre. Ces derniers mois sont vécus sereinement. Tout ce qui pesait s’évapore. L’échéance proche rend appréciable les journées.
Une collègue nouvellement arrivée, concernée par le projet de biodiversité, propose une mise en contact. Exactement le type de rencontre recherchée depuis quatre ans sans y parvenir. Des années de recherche en vain et là sans aucun effort, les choses se présentent et s’emboîtent parfaitement (conf article 2 et 5).
A bientôt chères lectrices et lecteurs….