Ces nouveaux champs de possibles viennent bousculer vos croyances limitatives.
C’est impressionnant comme nous avons plus ou moins la tendance à nous limiter, nous censurer, nous diminuer, nous dévaloriser, nous interdire, nous empêcher d’être…
Qu’en pensez-vous ?
Plus j’avance vers de nouvelles expériences insoupçonnées jusqu’à ce jour, malgré leur alignement total avec ce que je suis, plus je prends conscience de notre immense force à nous limiter. Pour cela tous les moyens sont bon !
Au- delà des classiques : culpabilités, injonctions, dévalorisation,,, il y a encore plus perfide, tels que : principes, valeurs, vertus, responsabilités, attitude raisonnable,,, Vous voyez l’entourloupe ? Ces termes induisent du positif et pourtant s’immisce aussi de l’impensable pour vous et par ricochet une muraille de croyances limitatives. Ces croyances sont fausses.
Pendant plusieurs années j’ai dit tout haut et tout bas – « Mon Dieu ! délivrez-moi de moi s’il vous plaît ». Pendant plusieurs années j’ai pensé tout haut et tout bas – « Mon plus grand ennemi c’est moi ! ».
Aujourd’hui je prends la mesure de ces mots et du chemin parcouru depuis.
Cet article pourrait peut-être vous éviter quelques méandres et vous amener plus directement à votre but. C’est en tout cas l’intention car j’ai le sentiment qu’en notre contexte il n’y a pas de temps à perdre chère lectrice cher lecteur.
Pour illustrer notre immense propension à nous limiter j’ai choisi de vous narrer une aventure personnelle avec l’installation d’un poêle puis celle de la création Au Bureau d’Artémis et peut-être une troisième expérience.
Cher-e Artémisien-e bonne lecture à très bientôt.
Les expériences concrètes valent largement le grand discours.